Challenge d'écriture : Le défi

misslou

Ah ! Ah! Neph a rusé !
et il n'a pas suivi la piste de la partie d'échecs que j'imaginais, au profit de la mythologie et en effet, Baucis fut bien transformée en tilleul, bien vu . Bravo, beau défi.

misslou

Neph

Merci misslou, oui, j'aime bien parfois surprendre un peu et contourner les choses évidentes...
Au fait, je précise que je suis souvent très maladroit, si j'ai coupé l'herbe sous le pied d'un autre membre pour le précédent défi, je m'en excuse. Et oui, ma plume va se transformer en plume-garou, si je n'y prête attention!
Trêve de plaisanterie, misslou, chose promise chose due, si tu le souhaites, relèvera tu le défi que je te lance? Voici les mots:

Seigneur - sommeil - un feu - garder la foi - partager - se souvenir - destruction - parcourir - les mondes - la clé - verrouiller - oublier - le passé - éternel - enfant -les fleurs - entremêler.

Neph

misslou

J'ai bien noté les 17 mots et je ne sais pas trop où ils vont m'emmener....je vous raconterai....!
Par contre, aucune maladresse de ta part, Neph ! Le premier qui est inspiré par les mots proposés peut relever le défi ! Ce serait bien aussi que les auteurs qui veulent jouer avec nous, qui ont un peu de temps, se fassent connaître et ils pourront eux aussi choisir, quand ils le voudront, la liste de mots qui les inspire.
Très bonne journée à tous

misslou

misslou

Adam.

Affalé dans son canapé, les pieds sur la table basse, Adam regardait le DVD du Seigneur des anneaux pour la dixième fois. Sa tête penchait doucement vers l'avant, ses paupières se faisaient pesantes et il luttait contre le sommeil. Peu à peu, il se laissa glisser dans un rêve étrange, il plongea dans un univers d'ombres et de pénombre, la nuit l'entourait, la nuit l'envahissait....

Seule une gerbe de feu embrasant le ciel noir, au loin, attire son attention, comme un gigantesque incendie.

- Mais où suis-je ?

- Dans le monde de demain, lui répond une voix grave.

- Hein ? Quoi ? Adam recule de trois pas et essaie de regarder autour de lui à travers la nuit.

- Qui parle ? Qui est là ?

- Ne tremble pas, jeune Adam. Bienvenue dans ton futur, dans le futur de la pauvre planète Terre. Le jour va bientôt se lever, prépare-toi au terrible spectacle.
Et en effet, comme pour toutes les aurores du monde l'Est s'éclaire dévoilant sous ses yeux des ruines à perte de vue, des ruines couvertes de cendres noires, des troncs calcinés, le lit de rivières asséchées, les vestiges d'une civilisation anéantie, des écrans brisés, des façades de verre fracassées, des bouteilles en plastique, des squelettes de voitures abandonnées, un clocher décapité, des pylônes disloqués sur le sol couvert de cendres noires et collantes.
- Mon Dieu ! Qu'est-il arrivé ?

- Il n'y a plus de Dieu pour cette Terre désolée, dit la voix tristement. Mais tu dois malgré tout garder la foi Adam, ne te décourage pas.

- Et y a t-il des hommes vivants, ici ?

- Je ne sais pas. Pourquoi ?

- Mais pour comprendre ! Pour savoir ! Pour recueillir un témoignage, partager un avis sur la raison d'un tel désastre. Quelqu'un qui puisse se souvenir de la cause de cette destruction totale. Je trouverai bien une âme qui vive, même si je dois parcourir des milliers de kilomètres.

- Alors va, suis ton idée, Adam.

- Et toi qui es-tu ? Quelle est cette voix ?

- Je suis le Maître des Mondes. J'ai vu tant de civilisations croître et s'auto- détruire. Comme celle-ci, comme les autres. Les Hommes sont capables du meilleur comme du pire. Ils créent de belles choses dans de nobles desseins et puis tout perd son sens, se dénature, tout sombre dans l'exagération et la turpitude.

- Mais que faire ? Quelle est la clé ?

- Peut-être toujours se demander pourquoi on fait les choses, quel est le but et s'assurer qu'il est toujours louable, ainsi que les moyens pour l'atteindre. Et puis, ne pas verrouiller son cœur, toujours le laisser parler.

- Moi, il me parle de regrets. D'un temps que je ne peux oublier. Ce temps où notre Terre était belle, verte, vivante. Mais tout cela est le passé, regarde ce que nous en avons fait ...

- C'est l'éternel constat ! La voix semblait s'éloigner et Adam entendit comme en écho : les Hommes commencent à ouvrir les yeux, une fois qu'il est trop tard...

Et Adam ouvrit les yeux, affalé sur son canapé. Quelques bribes de son rêve revenaient à sa conscience. Il se massa les épaules, le corps ankylosé et son regard se posa sur la photo près de la télé, la photo de Nathan, son enfant jouant dans l'herbe au milieu des fleurs. La vision du chaos s'imposa à sa mémoire, cette image de fin du monde d'une Terre sèche, morte et désolée. Tous ces souvenirs d'un rêve sombre et prémonitoire s'imprimaient dans sa conscience. Un goût amer dans sa bouche. Ce sourire d'enfant souriant à un bel avenir et cette catastrophe d'un futur qu'il avait entrevu, tout venait s'entremêler dans son esprit. Mais Adam restait affalé sur son canapé.

misslou

misslou

Voici le week-end, le temps des auteurs : Que diriez-vous de ces quelques mots pour , peut-être, un texte plus gai et plus léger ?

poireaux - arrosoir - chapeau de paille - chenille - revolver - en un instant - cabane - tomates mûres - chien qui court excusez-moi ! - un verre de citronnade - melon - la carte du monde - soif - sur le chemin - 20 euros - à bientôt.

misslou

misslou

Ben alors ! Ils n'inspirent personne mes petits mots !
Si un auteur veut relever le défi avec une autre liste, il n'y a qu' à demander ... Cloclo, Dixi, Evol, PommeALeau, Delphine B, cmia11, Neph, Haeresis, Vincent, Paul, François et les autres !
mais... ça ne m' étonnerait pas que vous soyez tous en train de soigner vos petits textes pour le Challenge "pourquoi les femmes...."
Me trompe-je ?

misslou

cloclo

poireaux - arrosoir - chapeau de paille - chenille - revolver - en un instant - cabane - tomates mûres - chien qui court excusez-moi ! - un verre de citronnade - melon - la carte du monde - soif - sur le chemin - 20 euros - à bientôt.

Savez-vous jardiner ?

Lorsque ma fille aidait son père au jardin, il arrivait fréquemment qu’il me la ramène en pleurs.
Cette fois-ci, elle avait arraché les poireaux que son père venait de planter.
Mais pour elle cela venait d’un bon sentiment, elle voulait simplement l’aider en les lui donnant à replanter. Ensuite muni de son petit arrosoir, elle prit le chapeau de paille que son père venait de poser à terre, le remplit de terre, repiqua au centre de celui-ci le cœur du chou-fleur arraché un peu plus loin, et arrosa le légume. Une chenille en fit sa demeure. Je trouvai l’ensemble très joli.

Vraiment pas patient le papa ! Dans la poche revolver de son pantalon dépassaient les gants de jardin qu’il venait de défaire pour ramener l’enfant. En un instant il nous planta là, toutes les deux et marcha vers la cabane au fond du jardin ; il tria les tomates mûres qui se trouvaient dans un panier, en prit une et la jeta sur notre chien qui piétinait ses poireaux. Mais …. « chien qui court » ne peut se rattraper et la tomate tomba aux pieds de notre voisin qui l’esquiva de justesse.

- Oh excusez-moi ! dit-il vous voulez un verre de citronnade ? Il fait très chaud, je voulais justement vous montrer le plan de melon que j’ai retrouvé sous mon châssis venez voir ?

Mon mari l’amena dans la cabane. Dans celle-ci ce trouvait une carte du monde accrochée au mur Elle nous servait à voyager en rêve, et bien souvent nous étanchions notre soif autour d’un verre et refaisions le monde.
Monsieur Bill, notre voisin resta à discuter avec mon mari un bon moment. Puis il le raccompagna jusqu’à la porte de sa maison.
Sur le chemin celui-ci lui demanda :
- Dites-moi, ma femme aimerait que je plante des rosiers le long du chemin, combien pensez-vous que cela me coûterait ?
- Je ne sais pas trop ! Cela dépend de la quantité voulu et du prix d’un rosier, en tous les cas au minimum 20 euros !
A bientôt cher voisin !

Voici les mots que je met à disposition du prochain défi:
fuite - maillon - camarade - recel - membres de l'association - satisfait - tribunal - nations unies - boissons - protèges cahier - traces de crayons - vinaigre - soin - autocollant - puissant - mener - bateau - l'eau chaude - ciel -

misslou

Ah, merci Cloclo, pour ce texte charmant. J'ai bien aimé la "poche-revolver", car j'avais imaginé quelques thrillers au potager !
Bien joué, beau défi ! Qui voudra essayer maintenant ?

misslou

cloclo

Merci
missiou pour ces encouragements
Pour ma petite expérience je peux dire que je ne sais absolument pas à l'avance où les mots à placer vont me mener
je change mes phrases plusieurs fois.et cela me plait énormément .Je suis fan de ce jeu.Tout le monde peut le faire.
Vite à vos plumes ........Cloclo²

misslou

Aucun auteur à l'horizon..., alors je prends tes mots, Cloclo, j'ai déjà une petite idée et je ramène le tout dans un texte qui commencera par " Les doigts tout tachés d'encre bleue..." à bientôt !

misslou

misslou

Histoire de lycéens.

Les doigts tout tachés d'encre bleue, son cahier d'histoire était d'ailleurs maculé de bleu aussi à cause de la fuite de son stylo-plume, Gaël essayait de dégager le maillon de sa chaîne d'antivol coincé dans les rayons de la mob de son camarade. C'était une mauvaise journée !
En plus, que ce cours d'histoire avait été ennuyeux avec l'analyse d'un texte obscur : un cas de jurisprudence sur des vols et le recel d'œuvres d'art. Les membres de l'association avaient été jugés en 1969. Le prof semblait satisfait de son cours, mais personne n'avait rien compris à ce texte, aux délibérations du Tribunal des Nations Unies et tout le tintouin...
Gaël sortit du garage à vélo du lycée Jean Monet pour traverser la rue et aller au café où se retrouvaient souvent les lycéens. D'ailleurs Nicolas et Christophe étaient en grande conversation devant leurs boissons à une petite table, dans un coin du bar. Il les rejoint et commanda un café. Tout en parlant Nicolas, l'artiste du groupe, dessinait. Il avait posé crayons, fusain, gomme sur son protège-cahier et esquissait les traits de la serveuse qui lui souriait derrière le comptoir. En quelques lignes et traces de crayons, on reconnaissait déjà la forme de son visage et le mouvement de ses cheveux Cependant, tandis qu'il dessinait, la discussion entre Christophe et Gaël tournait au vinaigre. Alors les trois amis préférèrent quitter les lieux et Nicolas prit soin de bien ranger son dessin entre les pages de son cahier d'histoire dont la couverture était totalement recouverte d'autocollants.
Gaël salua ses potes et d'un mouvement puissant sur la pédale, il prit le large pour rentrer chez lui. Encore énervé de sa discussion avec Christophe qui visiblement voulait le mener en bateau, il pédala rageusement jusqu' au bas de son immeuble. Il aurait dû lui clouer le bec à cet idiot, mais "chat échaudé craint l'eau chaude" ou quelque chose comme ça, Christophe était une vraie brute, il en avait déjà fait l'expérience et tout cela aurait pu vite dégénérer.
Grâce au ciel, Gaël avait su couper court à cette dispute. Et finalement , c'est calme et serein qu'il rentra chez lui...

Et si Neph en est d'accord, je le choisis pour écrire le texte suivant , avec les mots que voici :

s'abriter - fumée - un ange - flammes - tout le monde pleurait - un cri - les blés - ramasser - pluriel - un grand succès - quelques erreurs - absolument - interminable - courageusement - plume - lumière - s'élever - ils étaient tous soulagés !

misslou

Neph

Oui, bien sûr, je suis d'accord, avec plaisir! Comme d'habitude, un jour ou deux maxi, et normalement, je trouverais l'inspiration.

Neph

Neph

L'enlèvement

Ils venaient tous de s'abriter avant que la fumée épaisse ne se charge de brouiller les pistes. C'était un désastre, une ère apocalyptique. Personne ne savait d'où venait la fumée et ce qu'elle représentait. Pourtant, un ange sorti des flammes, tout en disant des choses que même l'être humain ne peut comprendre. Tout le monde pleurait.

On entendit au loin comme un bruit de trompette assourdissant. Un cri se fit entendre:

« Les blés sont prêts. Les anges vont les ramasser dans mon grenier et couper les mauvaises herbes, puis les jeter au feu. »

Le pluriel de majesté avait parlé, mais peu de gens le comprit sur l'instant.

Et ce fut alors un grand succès. L'opération était fidèlement orchestré, comme les écritures l'avaient annoncées. Une myriade d'anges apparurent pour protéger et emmener les gens choisis, loin de ce désastre. Dans le passé, c'est vrai, quelques erreurs avaient été commises. Mais, il n'était plus question de parler du passé, ce n'était plus qu'une histoire ancienne et révolue.

Pour certaines personnes, c'était absolument magnifique de voir enfin ces êtres ailés suivre les directives du Très Haut. Tandis que pour d'autres, c'était interminable. Courageusement, certaines troupes des cieux se rassemblèrent, pour combattre les légions des ténèbres dans le ciel. Ma plume ne peut pas décrire toutes les merveilles que j'ai vu.

Ensuite, la lumière se fit plus intense, brillante et scintillante de mille feux, sur toute la terre. Les humains rassemblés, se sont vus s'élever dans les cieux. Jamais je n'avais vu un tel prodige, il n'y avait plus de peurs dans leurs cœurs, plus de larmes dans leurs yeux, ils étaient tous soulagés!

Neph

misslou

Un bel instant où le temps suspend son cours et où "la lumière se fait plus intense" comme dit ce beau texte... merci Neph !

Il nous faudrait maintenant un auteur " partant pour un autre beau voyage d'écriture", cmia 11 peut-être ? et
les mots que Neph va lui proposer... à moins que Neph n'est déjà sa petite idée pour la suite....

misslou

cloclo

Ingénieux !!! Avec seulement le mot anges et nous voilà en plein cœur des visions de Jean dans l’apocalypse. Bravo….

Neph

Merci à vous! J'ai pris beaucoup de plaisir à écrire ce texte!

Voici les mots que j'ai choisi:

quête - route - brique jaune - réfléchir - défi - tant de rage - voyageur - finalité - au revoir - parcourir - Vous ne passerez pas! - contrée lointaine - émerveillé - ce rêve - c'est ainsi - fin

Je précise que je n'ai pas d'idées particulières au sujet de la personne qui relèvera ce défi. Qui donc le relèvera? La suite... Au prochain épisode!

Neph

misslou

J'espère que je ne prends la place d'aucun auteur et que personne n'est en train de préparer un petit texte avec les mots de Neph Il ne faut pas hésiter à se signaler quitte à dire le lendemain, non finalement mon texte ne me plait pas, je passe mon tour !

Utah Beach.

Vite, il replia son parachute à la faible lueur de la lune et cacha le gros ballot de toile blanche du mieux qu'il put.
Dans sa quête de la liberté, en ce 6 juin 1944, la première étape était réussie : il était vivant et il avait atterri sur le sol de Normandie.
Avec d'infinies précautions, il rejoignit la route, puis une maison de brique jaune un peu plus loin. Il n'avait encore croisé aucun de ses compagnons mais là, à quelques mètres devant lui, il lui sembla discerner des uniformes ennemis. Sans réfléchir, il roula dans le fossé et resta immobile. Il entendit les voix des hommes qui s'approchaient, parlant fort comme s'ils se querellaient. Ne pas se faire repérer, rester allongé dans cette petite zone d'ombre, ne pas se faire entendre en bloquant sa respiration fut un vrai défi pour Jimmy.
Puis les Allemands s'éloignèrent et il quitta sa cachette en direction de la maison. Pourquoi ressentait-il tant de rage ? Pourquoi cette guerre faisait-elle de lui un sauvage ?
Il s'approcha de la maison où il fut accueilli avec beaucoup d'humanité mais très simplement, un peu comme un voyageur. Il put laver son visage qu'il avait noirci pour sauter en parachute et soigner les blessures de ses mains et de ses jambes, puis vingt minutes plus tard, il était prêt à assurer la finalité de sa mission : contrôler l 'écluse de la Barquette, sur la Douve, près de la ville de Carentan et favoriser ainsi le débarquement sur Utah Beach. Il dit chaleureusement "au revoir" à cette famille française et il lui restait maintenant à parcourir le chemin vers la mer. La deuxième étape était réussie.
Le soleil se levait à peine dans le ciel gris, on entendait au loin les canons allemands. Les hommes du 501st régiment de l'US Army se regroupaient petit à petit, venant de partout et longèrent la Douve en se cachant dans les herbes hautes. Le plan semblait fonctionner parfaitement, quand soudain ils virent des chars allemands rassemblés non loin de l 'écluse. Toujours bien cachés, Jimmy et quelques uns de ses compagnons se concertèrent et imaginèrent comment encercler l'ennemi et contrôler l'écluse.
- " Vous ne passerez pas ! " disaient les autres. Mais à la guerre comme à la guerre, il fallait tenter le tout pour le tout et se débrouiller...

Ils furent des milliers de soldats, des milliers d'Américains à combattre sur le sol de France, cette contrée lointaine perdue là-bas, en Europe. Ils furent des milliers à tomber sous les coups ennemis, mais finalement les Alliés triomphèrent.
Le jour de la victoire, Jimmy défilait émerveillé, perché sur la tourelle d'un char. Il s'était réalisé ce rêve de liberté !
Il avait fallu laisser beaucoup de tombes américaines sur les plages de Normandie, c'est ainsi, la guerre ne fait de cadeau.
Mais toutes ces morts ne sont pas inutiles, puisqu'en fin de compte, le débarquement de 1944 aura apporté la victoire et libéré les peuples de l'emprise ennemie.

misslou

misslou

Voici les mots que je propose, j'espère que cette petite liste inspirera l'un d'entre vous ! :

combien - samedi - robe blanche - ce grand jour - soleil - campagne - accordéon - champagne - bonheur

misslou

misslou

Ma liste de mots ne semble inspirer personne !... alors voici une seconde liste pour relever le défi !

trois bougies - draps blancs - en secret - un verre de vin - trois livres reliés - doucement - un chat noir - clair cristal - apaisement - émeraude - Fontainebleau - le vent dans les arbres - panier - grand silence - trois pièces d'or

misslou

cloclo

combien - samedi - robe blanche - ce grand jour - soleil - campagne - accordéon - champagne – bonheur

Je pourrais commencer par : (Combien vaut ce chien dans la vitrine woah…woah.) vieille chanson de LINE RENAUD mais la suite me serait difficile à composer donc……
Nous allons commencer notre histoire par un beau samedi. Revêtue d’une robe blanche, Julie s’apprêtait à sortir de son appartement, pour se diriger vers la boutique de prêt à porter qui se trouvait à deux pas .Elle devait se rendre au mariage de sa cousine Hélène.
Pour ce grand jour, elle voulait trouver quelque chose de confortable car le mois d’août était à sa fin et le soleil n’était pas toujours au rendez-vous.
La cérémonie devait avoir lieu dans le village d’Hélène en pleine campagne
Elle trouva son bonheur dans la boutique, elle avait opté pour une tenue facile à porter, demi-saison et qui pourrait facilement être remise après le mariage, elle attendit le jour (J) pour enfiler cet ensemble, qui lui allait à merveille, lui avait affirmé la vendeuse.
Quelques jours plus tard, Julie était fin prête.
Elle arriva devant la mairie et après les embrassades d’usage un ….ho ….s’échappa de plusieurs bouches La mariée descendit de la vieille DS 19, lustrée et décorée pour l’occasion ; tous étaient en admiration devant la mariée
La journée se passa comme dans un conte de fée. Très belle journée ;le soleil était au rendez-vous ainsi que tous les ingrédients pour que tout soit réussi
Un repas excellent fut servi et les festivités allaient dans le bon sens, tous s’amusaient
Quelques accords de musique commençaient à se faire entendre On laissa place aux nouveaux mariés, l’accordéon égraina les premières notes d’une valse, et après un tour de piste des mariés, des couples se formèrent et envahirent l’espace encore disponible
De la musique ? Il y en eut pour tous les goûts.
Pendant la pause, la pièce montée fit son apparition, accompagnée d’une coupe de champagne et tous trinquaient au bonheur des mariés
La jeune fille qui reçut le bouquet de la mariée, rêvait déjà à un futur mariage aussi réussi que celui-ci……..